Je suis réveillée depuis 4h00 a.m.. Imaginez donc que depuis quelques semaines je me plaignais de douleur au sein gauche. La douleur augmentait pas mais s'améliorait pas non plus.
À mesure de faire des recherches sur internet je trouvais que j'avais des symptômes semblable au cancer du sein
. Prise de panique je décide de consulter mon médecin. Comble de malheur, mon médecin sera en congé de maternité à la fin d'avril.
Elle a plus de place d'ici la.
Je voulais surtout pas consulter n'importe qui. Je décide donc appeler ma gynéco. J'appelle hier. La clinique est fermé . Crime ça va pas bien.
Je rappelle ce matin. Fiou! Elle a une cancellation cet après-midi. Je vais donc à la clinique avec mon mari car je voulais pas vivre ça toute seule.
En discutant avec elle j'explique ce que je ressens et ce que j'ai fais. Elle me dit "Toi puis tes recherches, arrête de vouloir tout savoir car ça va te rendre malade. Elle a tellement raison. Je lui dit oui mais je veux pas être ignorante. Elle me répond Tu as raison de vouloir savoir mais il y a des avantages d'être ignorante et des avantages d'être renseigner. L'avantage d'être ignorante est que tu aurais pas eu cette épisode de stress intense et que peut-être tu aurais ignorer ton mal et risquer d'attendre pour consulter. La ou l'avantage d'être informer car la majorité des maladies sont soignés souvent trop tard.
Donc l'exasmen commence. J'ai la chienne
Je me vois déjà entendre dire la gynéco que j'ai un grave problème. Les secondes sont looooongues.
Après examen elle confirme que j'ai........,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,.rien.
QUEL SOULAGEMENT !
Ma douleur est du au maudite brassière avec un cerceau . Crime moi qui pensait que j'étais presque un cas de cancer avancer.
Non mais j'ai une imagination tellement fertile
Je vais donc à partir de ce jour mettre des brassières sans supports et garder mes cutes pour le samedi soir (conseil de ma gynéco (blague) . Voilà mon épisode de stress intense. Je m'en serais bien passé.
J'ai quand même une mammographie en juillet à faire. J'ai quand même 50 ans. Ah petite jeunesse.